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> Cardiologie


RETRECISSEMENT AORTIQUE

Définition, Intérêt
Physiopathologie
Circonstances de Découverte

Diagnostic Positif
Diagnostic Différentiel
Formes Cliniques
Evolution
Traitement et Conclusion





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DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL

Habituellement, le rétrécissement aortique clinique ne prête pas à discussion. Cependant:

Le souffle systolique apexo-axillaire en écharpe du sujet âgé hypertendu, dont l'origine est incertaine mais sûrement dû à des calcifications mitro-aortique non-sténosantes, s'étend de la base à la pointe. Le B2 est conservé.

Le souffle de myocardiopathie obstructive est semblable de même que la symptomatologie liée à l'effort, mais le B2 est conservé et son intensité est maximal au bord gauche du sternum.

Le rétrécissement aortique sous-valvulaire* est congénital et dû à un diaphragme fibreux sous-valvulaire. L'échographie le met facilement en évidence et il n'y a pas de gradient ventriculo-aortique. Il peut exister chez l'enfant un rétrécissement aortique supravalvulaire dans un contexte clinique plus riche.

Le souffle systolique d'insuffisance mitrale peut prêter à confusion lorsque l'irradiation à la pointe est importante ou prédomine.

Enfin, lorsque le souffle d'accompagnement d'insuffisance aortique (IA) est important, il peut être difficile de distinguer entre une maladie aortique ou une IA évoluée et son souffle systolique d'accompagnement.

Dernière modification de cette fiche : 27/08/2007


 Auteur : Equipe Médicale Medinfos

 

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