Accueil

   Nos Fiches Maladies
   par spécialités

      - Cardiologie
      - Endocrinologie
      - Hématologie
      - Hépato-Gastro-Entérologie
      - Immunologie
      - Maladies infectieuses
      - Neurologie
      - Pneumologie
      - Rhumatologie
      - Urologie - Néphrologie

   Associations & fiches lecteurs

   Sélection de Livres

 
Partager
    



 

Enquête : MEDinfos et vous

Charte Ethique

Annonceurs



> Rhumatologie

LOMBALGIES ET SCIATIQUES

Définition, Intérêt
Physiopathologie
Les lombalgies
La névralgie sciatique commune
Les Formes Cliniques
Diagnostics: de Gravité, Différentiel
Evolution
Traitement, Conclusion



LES FORMES CLINIQUES

Selon l'âge, le tableau diffère:

  Facteur favorisant Lésion responsable Signes rachidiens Signes radio Evolution
Sujet jeune traumatisme hernie discale +++ Radiographies normales - chirurgie dans 1/3 des cas
Sujet âgé absence de traumatisme important protrusion discale +

pincement discal net et signes d'arthrose

- guérison habituelle sous traitement médical


En dehors de la symptomatologie différente selon le niveau atteint et l'âge du patient, il peut s'agir d'une sciatique tronquée dans laquelle il faut éliminer une atteinte sacro-iliaque ou des articulations interapophysaires postérieures, car elle est le plus souvent supérieure. La sciatique bilatérale vraie est le fait d'une volumineuse hernie médiane. Elle ne doit pas être confondue avec une sciatique à bascule.



Publicité
La sciatique hyperalgique est caractérisée par une douleur intolérable ne cédant pas aux thérapeutiques habituelles. La sciatique paralysante est observée dans 1% des cas. C'est une paralysie post-algique qui survient souvent après une sciatique L5 et laisse des séquelles dans 1/3 des cas. Une claudication intermittente non seulement douloureuse mais aussi accompagnée de troubles sensitivo-moteurs est sous la dépendance d'une protrusion discale intermittente se manifestant à la marche.

Un canal lombaire étroit ou secondairement rétréci par une ostéophytose surtout postérieure est en cause. Le tableau peut aussi être une sciatique sans Lasègue ni impulsivité à la toux. Le rétrécissement est objectivé par le scanner et l'Imagerie par résonnance magnétique. La disparition rapide des signes lombaires est en faveur d'une hernie exclue. Un syndrome de la queue de cheval peut se voir par atteinte des racines hautes et surtout basses (S2, 3 et 4) avec anesthésie en selle et troubles sphinctériens. Elle mérite d'être reconnue car elle nécessite un traitement chirurgical précoce.

Dernière modification de cette fiche : 05/11/2007


Chers lectrices, chers lecteurs,

De manière à améliorer la prise en charge de la lombalgie, l’équipe médicale Medinfos vous propose de remplir le questionnaire suivant.

Vous serez informés par e-mail de la parution des résultats de l'enquête.

Par avance, nous vous remercions de votre participation.

Vous êtes... un homme      une femme
Quel est votre âge? ans
Votre taille... cm
Votre poids... kg
Votre e-mail... (vous serez informés par e-mail de la parution des résultats de l'enquête).
Dans quel pays vivez-vous?
1 - Depuis combien de temps avez-vous des douleurs dans le dos?

moins de 1 an

entre 1 et 2 ans

entre 2 et 5 ans

plus de 5 ans

2 - Quelle est la fréquence de ces douleurs?

tous les jours

toutes les semaines

2 fois par mois

tous les mois

tous les 2 mois

tous les 3 mois

moins d'une fois tous les 3 mois

3 - Quel est votre traitement actuel?
4 - Ce traitement vous calme-t-il les douleurs?

oui, parfaitement

oui, mais de façon incomplète

non, pas du tout

5 - Avez-vous déjà eu une crise de sciatique? oui        non 
6 - Avez-vous bénéficié d’un traitement chirurgical? oui        non 
Merci d'avoir participé à notre enquête!


 Auteur : Equipe Médicale Medinfos

 

    © 1999-2019 PL HL - Notice légale
Haut de page