Accueil

   Nos Fiches Maladies
   par spécialités

      - Cardiologie
      - Endocrinologie
      - Hématologie
      - Hépato-Gastro-Entérologie
      - Immunologie
      - Maladies infectieuses
      - Neurologie
      - Pneumologie
      - Rhumatologie
      - Urologie - Néphrologie

   Associations & fiches lecteurs

   Sélection de Livres

 
Partager
    



 

Enquête : MEDinfos et vous

Charte Ethique

Annonceurs



> Maladies infectieuses

DIAGNOSTIC CLINIQUE ET BIOLOGIQUE D'UNE LEPRE

Définition, Intérêt
Physiopathologie
La lèpre tuberculoïde
La lèpre lépromateuse
Les formes cliniques
Diagnostic
Traitement





Publicité
La lèpre lépromateuse

1) Clinique

a) Les lésions cutanées

Comparées aux lésions de la lèpre tuberculoïde, elles sont infiltrées et mal limitées.

Les lépromes sont des nodules fermes ou un peu mous. La face est atteinte électivement réalisant à terme le 'faciès léonin'. Il en existe sur les membres et le tronc. Des ulcérations peuvent apparaître.

b) La rhinite lépreuse

Elle se traduit par un jetage mucopurulent, très riche en bacilles donc très contagieux. Des ulcérations ou des perforations de la cloison en sont la conséquence à terme.

Les muqueuses cornéennes et laryngées peuvent aussi être atteintes.

c) Les possibles atteintes viscérales

En dehors des compressions nerveuses, les disséminations bacillaires viscérales se manifestent par des adénopathies, une hépato-splénomégalie, une orchiépididymite ou une ostéite.

d) Il existe des signes généraux


2) Evolution

La lèpre lépromateuse met en jeu le pronostic vital. Elle s'aggrave sur 5-6 ans par poussées aboutissant à une cachexie, des surinfections ou une amylose.

Dernière modification de cette fiche : 10/10/2007


 Auteur : Equipe Médicale Medinfos

 

    © 1999-2019 PL HL - Notice légale
Haut de page